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samedi 20 janvier 2018
PAYANT
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
mercredi 17 janvier 2018
Choucoulat !
Bien, Ch. Millet, c'est d'un ringard antédiluvien, c'est comme la connerie, ancestrale !
Passons au chocolat, c'est la période.
Surtout avec les cordes qui dégringolent dehors...
Quel gachis cette sculpture !
Déjà, il n'y a plus de nounours, en vrai.
Et pour le chocolat, ça va être pareil...
Sécheresse et mélanges industriels avec la graisse de bébés phoques !
On va tous se retrouver "chocolat" !
Comme les ours !
Boucle d'Or pleure à grosse larmes,
D'où la pluie !
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
lundi 15 janvier 2018
L'angélus de Millet
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
vendredi 12 janvier 2018
Vivre, à tout prix !
Un allemand, dans une taule française de haute sécurité, peu ou prou un sale terroriste, agresse grièvement ses gardiens pour ne pas être extradé aux USA où la chaise électrique le guette. J’ai vu sa tronche en photo sur le journal, sinistre. Mais c’est d’la faute au maton !
La salmonelle envahit le lait pour les bébés chez Lactalis.
Des policiers tchéchènes mettent une dose de drogue dans la poche du responsable
d’une ONG des droits de l’homme pour expulser du territoire cette organisation.
Un malien malade dans un centre d’hébergement d’urgence se marre en disant
que si on l’expulse de France, il reviendra parce qu’il n’a d’autre choix
qu’entre la misère et l’espoir.
Et Nadine Morano déclare dans
une énième saillie qu’elle veut bien être, elle aussi, opportunée
(sic) !
J’adore les mille et une matière que prend la vie pour exister, quoi
qu’il en coûte !
La vie est une mauvaise herbe ! Vive la vie !
Photo tirée de : http://caonomdunchien.blogspot.fr/search?updated-max=2017-11-25T03:30:00%2B01:00&max-results=10&start=36&by-date=false
La racine vivante du Père Lachaise !
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
mercredi 10 janvier 2018
Libéré !
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
lundi 8 janvier 2018
J’ai parfois un sentiment d’enfermement !
Entourés de portes, combien en poussons nous dans une journée ?
Quelle quantité, en peau de bébé phoques, en tirons-nous dans une seule
vie ?
Y a-t-il un seul endroit au monde sans une porte ?
Un champ ? Pas même, parce qu’il faut prendre la clé des champs.
Le ciel ? Un saint nous rappelle qu’il en détient la clé.
L’enfer et le paradis ont itou, tous deux, une porte. Tudieu !
Les portes du désert ?!
L’oubliette du Moyen Âge serait presque une masure sans porte ?
Presque.
Les portes du pénitencier en sont l’aimable paradigme, aimable
comme une porte de prison, le comble de la porte.
Les portes gémissent, claquent, grincent, poussent des petits cris de
souris.
Elles coulissent. Les portes à tambour feulent, raclent le sol, elles
sont vivantes. Elles ont leur propre pas, pas-de-porte, hors de prix ou d’un
euro symbolique.
Elles coincent quand elles sont en porte-à-faux.
Il y a la grande porte par laquelle on entre et la petite pour sortir
la queue entre les jambes.
Prendre la porte est excluant.
Un terrible vieux métier, enfonceur de portes ouvertes.
Un autre petit métier : ouvreuse.
Le coiffeur peut boucler sa porte.
Les portes sont fermées, verrouillées, closes, entrouvertes, battantes,
ouvertes.
La porte d’entrée, et la porte de sortie qu’on doit toujours ménager.
La veine porte. L’insupportable porte-à-porte.
Certaines sont dérobées, d’autres portillons.
D’autres encore cumulent plusieurs fonctions, la porte fenêtre, par
exemple.
La porte a son propre théorème : une
droite est orthogonale à un plan si et seulement si elle est orthogonale à deux
droites sécantes de ce plan.
On peut condamner une porte.
Chacun peut voir midi à sa porte.
Fatiguée, la porte baille.
Versailles a sa porte, les Lilas aussi.
Même le sexe a sa porte de … derrière !
Mais il y a pire que tout, dans les bouclards de la
surconsommation : les journées portes ouvertes dans les grands
magasins !
Cette petite recherche de la complétude portuaire pourrait rendre fou
n’importe qui ! C’est un véritable labyrinthe électromécanique : ouvert ou
fermé.
En base deux (1,0) : un ou rien !
Après vous, passez donc, je n’en ferais rien !
Spiderman's doors.
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
mercredi 3 janvier 2018
Wilson Alwyn Bentley
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samedi 23 décembre 2017
CRUEL NOËL !
Le rythme est saccadé, il faut faire des cadeaux.
C’est Noël !
Faire des cadeaux,
en fabriquer ou en acheter.
Des cadeaux qu’on donne.
Des cadeaux qu’on achète
dans les magasins de cadeaux.
Des cadeaux que
d’aucuns revendront sur le Coin Bon.
Coin-coin, cancane le
vilain petit canard,
Coin-Coin, je vous offre
mon cœur et mon foie…
Gras !
Joyeuses fêtes !
Gédéon.
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lundi 18 décembre 2017
ARRETER DE FUMER
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mercredi 6 décembre 2017
FAONS DE JOHNNY !
Kili watch
Kili watch
Kili watch
Kili kili kili kili watch watch watch watch
Keom ken ken aba
Depuis deux jours je ne fais que répéter
Ce petit air qui commence à m'énerver
Oui! Kili kili kili kili watch watch watch watch
Keom ken ken aba
C'est contagieux car au lieu de dire bonjour
Mes voisins en me croisant chantent à leur tour
Kili!
Kili watch!
(x12)
Kili Kili watch
Kili watch!
Kili watch!
Kili watch!
Kili kili kili kili watch watch watch watch
Keom ken ken aba
J'ai consulté le docteur de mon quartier
En moins d'une heure je l'avais contaminé
Ouais! Kili kili kili kili watch watch watch watch
Keom ken ken aba
Le directeur d'un asile m'a enfermé
Le lendemain il chantait à mes côtés
Kili kili kili kili watch watch watch watch
Keom ken ken aba
Les infirmiers pris de peur m'ont relâché
Voilà pourquoi vous aussi vous chanterez
Kili kili kili kili watch watch watch watch
Keom ken ken aba
Ah! Mes amis n'écoutez pas cet air-là
Car vous risquez de finir tout comme moi
(x12)
Kili Kili watch
Kili watch
Kili watch
Kili watch
Watch
Kili watch
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Keom ken ken aba
Depuis deux jours je ne fais que répéter
Ce petit air qui commence à m'énerver
Oui! Kili kili kili kili watch watch watch watch
Keom ken ken aba
C'est contagieux car au lieu de dire bonjour
Mes voisins en me croisant chantent à leur tour
Kili!
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Keom ken ken aba
J'ai consulté le docteur de mon quartier
En moins d'une heure je l'avais contaminé
Ouais! Kili kili kili kili watch watch watch watch
Keom ken ken aba
Le directeur d'un asile m'a enfermé
Le lendemain il chantait à mes côtés
Kili kili kili kili watch watch watch watch
Keom ken ken aba
Les infirmiers pris de peur m'ont relâché
Voilà pourquoi vous aussi vous chanterez
Kili kili kili kili watch watch watch watch
Keom ken ken aba
Ah! Mes amis n'écoutez pas cet air-là
Car vous risquez de finir tout comme moi
(x12)
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lundi 4 décembre 2017
L'HERITAGE.
Je lis des lettres écrites entre des personnes que
j’ai plus ou moins connues et qui pour la plus part sont mortes. Je regarde des
photos, avec des gens qui sont décédés, excepté ma sœur et moi. Je vois sur ces
photos, des paysages, des événements, qui ont été porteurs de joie mais aussi de mort. J’ai bien du mal à m’extraire
de ce bourbier de souvenirs qui ne m’appartiennent presque pas. Comment
faire ? Comment ne garder que les bons souvenirs de tout ce
fatras ? Comment triturer tout ça, trier mes propres souvenirs face à
cette avalanche d’informations décousues ? Je ne veux plus chercher à
comprendre parce que c’est impossible. Il y a trop de trous. Il me faudrait
reconstruire une histoire passée. Il me manque la parole de mes parents qui ne
sont plus là pour raconter. Je ne suis certain de rien. Je ne me sens même pas
capable de bâtir une légende. Ce ne sont que des haillons impossibles à
raccommoder. Ils ont un poids. Ils sont un poids mort. Je me trimbale cette
charge... et pour encore combien de temps ?!
Aden, le 15 mars 1947
Année 1929
Cambodge, mission Kep novembre 1948
De retour à Toulon, bien démoli, 5 novembre 1944.
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
dimanche 26 novembre 2017
Rêver en oubliant la bande d’arrêt d’urgence.
Mon esprit tangue un peu. La mort de mes deux
parents me chavire.
Des saules pleurent. D’autres, ou bien les mêmes, rient. Leurs feuilles, parées d’or, beaucoup plus longues que larges, sèchent, durcissent, courbent et tombent. A la surface de l’eau, ce sont des petits bateaux, deux tiers la coque, l’autre tiers la voile. Le vent les pousse, elles font sillages. Frêles, est le seul mot.
L’humanité tient toute entière en un long baiser. Frêle.
Au péage, deux poids-lourds en vacances, ne circulent le dimanche. Le vent du nord éclate les carrosseries brillantes de soleil. Un chauffeur dore des frittes auprès de sa réserve de gasoil. Un autre, une femme, stérilise des conserves de viandes, près du pare-choc de son propre camion. Habillés tous les deux comme les bulgares en fichus qui campent les long du Périphérique près de la Porte de Montreuil, à Paris. Frêles.
Le matérialisme (dialectique) rime toujours avec misérabilisme.
Tout devient frêle lorsque tombe l’automne.
Des saules pleurent. D’autres, ou bien les mêmes, rient. Leurs feuilles, parées d’or, beaucoup plus longues que larges, sèchent, durcissent, courbent et tombent. A la surface de l’eau, ce sont des petits bateaux, deux tiers la coque, l’autre tiers la voile. Le vent les pousse, elles font sillages. Frêles, est le seul mot.
L’humanité tient toute entière en un long baiser. Frêle.
Au péage, deux poids-lourds en vacances, ne circulent le dimanche. Le vent du nord éclate les carrosseries brillantes de soleil. Un chauffeur dore des frittes auprès de sa réserve de gasoil. Un autre, une femme, stérilise des conserves de viandes, près du pare-choc de son propre camion. Habillés tous les deux comme les bulgares en fichus qui campent les long du Périphérique près de la Porte de Montreuil, à Paris. Frêles.
Le matérialisme (dialectique) rime toujours avec misérabilisme.
Tout devient frêle lorsque tombe l’automne.
L'ancre à la vie
L'encre à l'écrit
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
jeudi 2 novembre 2017
Les morts sont vivants.
Quant à moi, je suis resté un « grand enfant ».
Mais parents sont morts récemment. Je continue à les faire rager. Dans la maison qu’on doit vider pour la vendre, mais finalement ma petite sœur et moi avons décidé de tout donner à l’acquéreur rien que pour faire chier nos parents postérieurement, donc dans cette maison, j’ai fumé mes gros cigares dans toutes les pièces parce que mes parents ne voulaient pas qu’on y fume. Fumer, c'est bon mais mauvais pour la santé, j'arrête demain. Dans leur chambre, je n’ai pas fumé, par respect et parce que je suis un bon garçon !
Ensuite j’ai fait du feu dans la cheminée, parce que c’était interdit. En trente ans, l'âtre n’a pas servi plus de trois fois, parce que « une cheminée, c’est sale ! » disait Pôpa, Man-man confirmait ! Comme elle n’avait jamais brûlé (pas Man-man, la cheminée) le conduit n’était pas ramoné, j’entends mon père m’hurler dessus : « tu vas mettre le feu à la maison, imbécile ! » Et j’en jouis jusqu’au lundi !
En ouvrant une armoire, je suis tombé sur une pile de mouchoirs, repassés et pliés au carré. Plutôt que les utiliser pour pleurer leur mort, je me suis souvenu qu’une fois ils m’avaient enfermé dans une pièce pour me punir. Dans l’armoire de mon « cachot » il y avait une pile de mouchoirs à mon père et j’avais imaginé de tous les nouer les un aux autres pour faire une corde et m’évader par la fenêtre. Et bien ce rêve, à plus de soixante, je l’ai réalisé, rien que pour voir la tête de mes parents !
Evidemment, je ne suis pas allé sur leur tombe le 1er novembre, ça leur aurait fait bien trop plaisir. Je serai un éternel sale gosse !
Quant à moi, je suis resté un « grand enfant ».
Mais parents sont morts récemment. Je continue à les faire rager. Dans la maison qu’on doit vider pour la vendre, mais finalement ma petite sœur et moi avons décidé de tout donner à l’acquéreur rien que pour faire chier nos parents postérieurement, donc dans cette maison, j’ai fumé mes gros cigares dans toutes les pièces parce que mes parents ne voulaient pas qu’on y fume. Fumer, c'est bon mais mauvais pour la santé, j'arrête demain. Dans leur chambre, je n’ai pas fumé, par respect et parce que je suis un bon garçon !
Ensuite j’ai fait du feu dans la cheminée, parce que c’était interdit. En trente ans, l'âtre n’a pas servi plus de trois fois, parce que « une cheminée, c’est sale ! » disait Pôpa, Man-man confirmait ! Comme elle n’avait jamais brûlé (pas Man-man, la cheminée) le conduit n’était pas ramoné, j’entends mon père m’hurler dessus : « tu vas mettre le feu à la maison, imbécile ! » Et j’en jouis jusqu’au lundi !
En ouvrant une armoire, je suis tombé sur une pile de mouchoirs, repassés et pliés au carré. Plutôt que les utiliser pour pleurer leur mort, je me suis souvenu qu’une fois ils m’avaient enfermé dans une pièce pour me punir. Dans l’armoire de mon « cachot » il y avait une pile de mouchoirs à mon père et j’avais imaginé de tous les nouer les un aux autres pour faire une corde et m’évader par la fenêtre. Et bien ce rêve, à plus de soixante, je l’ai réalisé, rien que pour voir la tête de mes parents !
Evidemment, je ne suis pas allé sur leur tombe le 1er novembre, ça leur aurait fait bien trop plaisir. Je serai un éternel sale gosse !
CHROUM-BADABAN, TRES CÉLEBRE DÉTECTIVE PRIVÉ PARISIEN. TRES TRES PRIVÉ MÊME : JE N'AI PLUS UN ROND ! En deux mots : ça va !
vendredi 27 octobre 2017
Avoir la fibre ...
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Ad hoc !
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